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PALAIS DE LA CULTURE : 3ème conférence sur le PROCESSUS DE DÉVELOPPEMENT :

mercredi 19 janvier 2011

PALAIS CULTURE INVITATION
Mercredi 19 Janvier 2011 16h30

Invitation
pour la 3ème conférence
sur le PROCESSUS DE DÉVELOPPEMENT :

FINANCES, RÔLE DE LA BANQUE

qui se déroulera
le mercredi 19 janvier à 16h30
au Palais de la Culture.

Dans le cadre des « Mercredis de l’édition »
La Directrice du Palais de la Culture
a le plaisir de vous inviter à une

RENCONTRE – DÉBAT

Processus de développement

Finances :Rôle de la banque

Animée par le

Docteur Abdelkader ABID

Facilitateur Méthodologie

Le mercredi 19 Janvier 2011 à 16h00

à la Bibliothèque du Palais de la Culture Moufdi Zakaria


(Socialgérie : Pour des raisons techniques, l’invitation n’a pu être mise en ligne dans les délais !
C’est l’occasion néanmoins pour les intéressés (voir ci-dessous) de prendre connaissance du cycle de débats conférences qui se poursuit.
L’approche méthodologique et "managériale" a de toute évidence son intérêt en explorant des domaines scientifiques incontournables.

Tout comme est incontournable la question vitale mise une fois de plus en lumière par les ravages de la crise systémique économique et financière actuelle :
comment éviter la dérobade ou le parti-pris du "technocratisme" et donner à la politique économique et à la gestion financière une finalité fondamentale au service du développement humain et non de l’exploitation et du profit capitalistes ?

Les débats, pour garder leur pleine qualité scientifique, aborderont-ils de front cette question centrale ?)


Processus de développement

Résumé des 7 conférences 13 dec 2010

Aek Abid Facilitateur Méthodologie
aaaek01@yahoo.fr
Tel :00213 661 68 27 10
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00213 661 68 27 10 

Ces conférences se tiennent
tous les 2ème mercredi de chaque mois à 16h30
à Alger Palais de la Culture
(à coté du Ministère de la Culture – les Annassers)

Aek Abid Facilitateur Méthodologie
aaaek01@yahoo.fr


LISTE DU CYCLE DES SEPT CONFÉRENCES

Le thème central du cycle porte sur le « Processus de développement » et se décline en sept conférences


Peut-on encore se développer ?
Les optimistes et les pessimistes.


10 novembre 2010
Algérie France


Rôle et Tâches des Elites ?
1er décembre 2010
Algérie Liban


Finances : rôle de la banque ?
19 janvier 2011


Modernisation et Modernité
9 février
Algérie


Monde Arabe
9 mars
Algérie Liban


Europe
13 avril


La Société « Nouvelle » :
Robots et IA Intelligence Artificielle
Domaine cognitif Humberto Maturana

11 mai


_________________________________________________

Les conférences se feront sauf cas particulier selon le timing suivant :

16h30 Bienvenue Introduction (Palais)
16h35 Questions Sondage (Participants)
16H45 Conférence-débat (Facilitateur)
17h30 Discussion (Tous)
18h00 Fin et clôture


Résumé 3ème conférence

Finances : rôle de la banque

Intitulé : Finances : rôle de la banque
Date : Mercredi 12 janvier 2011 à 16h30
Lieu : Palais de la Culture

Sommaire

Résumé

0. Background
-  La diversité d’un mot « simple »
-  Le recadrage choisi.
1. Pourquoi les banques sont apparues ?
-  D’où vient le mot banque
-  Les plus grandes fortunes personnelles ne suffisaient plus
2. Le rôle des banques
2.1 Rôle « traditionnel » : récupération de l’épargne nationale
2.2 Des institutions de plus en plus spécialisés voire complexes
3. Leur « nouveau » rôle avec la mondialisation : nouveaux mécanismes ou marginalisation ?
Le Trésor américain veut donner de l’argent à certaines entreprises américaines sans passer par les banques.
- Les banques n’ont-elles pas joué leur rôle traditionnel ?
- A l’ère de la globalisation l’Etat – supraNational – sera-t-il le seul à pouvoir jouer ce rôle ?

Les annexes
Annexe 1 : Concepts
- Finances
- Banque
- Epargne
- Bourse
Annexe 2 : Outils
-  Recadrage Palo Alto Université Stanford San Francisco
-  Approche Multi – Transdisciplinaire
-  Méthodologie Pralinn et algorithme
-  La DIS Démarche Intégrée Simplifiée et ses 3 volets.
Annexe 3 : Pensée complexe : l’outil du futur
Annexe 4 : Facteurs de développement
Annexe 5 : Les cols blancs.
NB : les annexes 2, 3, 4 et 5 sont celles de la 1ère conférence et vont jouer le rôle d’annexes « trans-conférences » ce qui nous évitera leur répétition. Ainsi lors de chaque conférence, il suffira de se reporter aux annexes de la 1ère.

Annexe 6 Base de données
-  Bases de données papiers
-  @-bases de données
Annexe 7 : premiers avis

Résumé :
Dans la 1ére conférence on s’était posé la question de savoir si
- Un pays dit émergeant peut se lancer dans un lourd processus de développement ?
Bien sur on a deux réponses : celle des pessimistes et celle des optimistes.
Les optimistes étant majoritaire, la 2ème conférence a alors abordé la mission, rôle et taches des Elites sensés créer les conditions de l’émergence du processus de développement qu’elles doivent par ailleurs mener à son terme : c’était là le cœur de leur mission.
Entre autres conditions pour mener ce processus à son terme : les finances dont le rôle central de la Banque.
C’est ce que va aborder cette 3ème conférence.
On passera ainsi en revue le rôle traditionnel – récupérer l’épargne nationale avant de l’injecter dans le secteur économique en particulier le secteur productif.
Et voir après la dernière crise financière si ce rôle reste toujours pertinent.
Enfin voir quelles pistes ouvrent la décision de l’Administration Américaine de vouloir injecter directement des l’argent dans le secteur économique industriel productif sans passer par les banques.
Leur rôle traditionnel va-t-il s’amoindrir avec la globalisation actuelle ?
La Société Nouvelle sera-t-elle une société sans banques ?

0. Background
(Nous reprenons in extenso le Background de la 1ère conférence qui joue ainsi le rôle de « Trans-Background » pour l’ensemble des conférences)

La première conférence en juin 2006 à la Bibliothèque Nationale d’Algérie, inaugurait un cycle de sept conférences, sur un sujet tout à fait classique : le processus de développement.
Son intitulé exact était : « Le processus de développement des pays émergents : déterminants et présupposés » et son sous titre : « les « bons copieurs » seront-ils les bons élèves ? »
Bien sur on est en droit de se poser la question :
-  Que pouvait-il y avoir d’innovant dans la reprise encore une fois d’une telle problématique ?
L’innovation pour nous à l’époque résidait dans l’application à des thèmes tout à faits classiques
-  d’outils… innovants
Ce qui présupposait leur lente voire longue maitrise et appropriation.
Deux ruisseaux alimentaient ce cheminement
Le premier était en rapport avec la parution entre les années 70 et début 80 d’ouvrages remarquables sur le recadrage de l’Ecole de Palo Alto, sur l’approche transdisciplinaire et sur l’approche holistic.

Le second au début des années 90 avec le stimulant travail de l’AHA Américan Heart Association sur les algorithmes.

Ainsi entre les années 70 et 80
-  plus exactement en 1974 parait « Change : Principles of Problem Formation and Resolution » sous la direction de Paul Watzlawick chef de file de l’Ecole dite de Palo Alto Université Stanford San Francisco où y on avait récupéré le « recadrage »
(Le recadrage est tout simplement l’angle de vue ou d’analyse – voir annexes)

-  En 1980 le Prix Pulitzer récompensait le gros ouvrage (777pages) publié en 1979 du physicien Douglas Hofstadter « GEB Gödel, Escher, Bach An Eternal Golden Braid », véritable livre de chevet de l’approche transdisciplinaire et où une large place était consacré à Kurt Gödel un des pères de la logique formelle.
Il faut signaler toutefois les « ancêtres » à savoir le Groupe MACY qui s’était réuni dès 1946 à New York autour de la Transdisciplinarité. (voir annexe sur la pensée complexe)
La thèse d’Hofstadter était que « la conscience n’est que la conséquence émergente de bouillonnements d’activités élémentaires dans le cerveau »
Activités élémentaires facilement « maitrisables » et donc facilement « formalisables » par les nouvelles logiques.

-  Et toujours en 1980 parait « The Aquarian Conspiracy » (« Les Enfants du Verseau ») de la journaliste américaine Marilyn Ferguson.
Elle y développait entre autres l’approche dite holistic actuellement mieux connue sous le nom d’approche globale

Dix ans plus tard une équipe de l’AHA American Heart Association avait appliqué pour la première fois en Médecine un des outils de la puissante logique formelle : l’algorithme.
Nous avions à l’époque découvert les vertus de la « rustique » démarche algorithmique et son triptype.
-  identification de problèmes
-  procédure de résolution
-  et solution
Bien sur elle exige le respect de certaines conditions dont une majeure : une base de données.
Ce bouillonnement scientifique était toutefois en continuité directe avec celui des années 20, 30 et 40 qui allait déboucher sur l’émergence de la plus grande des révolutions actuelles : la révolution informatique.
Elle-même tissant le lit de la future grande révolution : celle de l’intelligence artificielle.
Les grandes universités américaines allaient y jouer un rôle pionnier : Harvard, MIT, Princeton, Stanford, etc
(Die Luft der Freiheit weht(allemand) Le vent de la liberté souffle,Devise de Stanford)

Notre boite à outils en 2006

Ainsi on venait de récupérer certains outils
-  Le recadrage
-  L’approche transdisciplinaire
-  L’algorithme
-  et l’approche holistic
Donc armé de ces outils nous avons décidé de les appliquer à de « vieux » thèmes.
C’est donc là que nous situons l’innovation.

Tableau des outils en 2006 .

Année Outils Source référentielle
1974 Recadrage « Change : Principles of Problem Formation and Resolution » Paul Watzlawick
1979 Approche transdisciplinaire « GEB Gödel, Escher, Bach An Eternal Golden Braid », Douglas Hofstadter
1980 Approche holistic ou globale « The Aquarian Conspiracy » (« Les Enfants du Verseau ») Marilyn Ferguson.
Début 90 Méthodologie Pralinn
Algorithme Ecole de Palo Alto
Ecole de Logique Formelle
Ecole de Chicago

Cette première conférence en 2006 était donc fortement imprégnée par cela et dans le modèle de développement classique cité dans la conférence
-  celui de l’Europe rapporté par l’historien anglais Eric Hobsbawm
on y avait appliqué l’approche transdisciplinaire en recherchant dans la multitude des expériences rapportées des « transversalités ».
C’est ainsi qu’on a retrouvé trois « trans » à savoir les trois grands déterminants de ce modèle :
• La révolution industrielle
• Les forces nouvelles
• Et les forces traditionnelles
Bien sur nous avons aussi appliqué les autres outils : le recadrage et la démarche algorithmique.

La boite à outils de 2011

Cette première conférence a été reprise en 2010 sous le titre : « Peut-on encore se développer en 2010 : les optimistes et les pessimistes.
Sauf que cette fois-ci nous avons disposé d’une nouvelle boite à outils.
A l’ancienne boite de 2006, nous y avons rajouté formellement
-  L’analyse des présupposés
-  Et nous avons bénéficié entre temps d’un véritable outil transdisciplinaire : la DIS la Démarche Intégrée Simplifiée avec ses trois volets : l’explicitation
 Des concepts
 Des outils
 Et de la démarche opératoire choisie.

Classiquement devant une problématique complexe – comme le processus de développement par exemple – sa résolution exige un minimum à savoir
- une base de données
- et des outils
Pour les données internationales, l’outil Internet répondait quasi parfaitement à notre demande.
Restait le problème d’une base de données locales, souvent notre maillon faible.
On était même prêt à se contenter d’une base locale de données.
Quant aux outils cela pouvaient être aussi bien
-  Des approches
-  Des méthodologies, démarches et processus
-  Que des outils « plus techniques » comme les procédures par exemple.
Déjà en 2006 on disposait
-  De l’approche transdisciplinaire et holistic
-  De la méthodologie Pralinn, des méthodes d’analyse de données
-  Et des outils « plus techniques » comme le recadrage de Palo Alto et les procédures algorithmiques .
On y a donc rajouté formellement en 2010 deux outils méthodologiques : l’analyse des présupposés et la méthodologie DIS.
La puissante et complexe analyse des présupposés devenait nécessaire afin de nous régler les discordances de la non moins puissante et statistique analyse de données.

En effet nous savons tous qu’un projet (de développement, formation, communication ou de recherche) qu’il soit individuel, de groupe ou institutionnel passe par une phase initiale qui est la collecte de données.
C’en est même une étape pré-requise.
Ces données vont ensuite être validées et interprétées grâce à des outils nouveaux et performants comme l’analyse des données basée elle-même sur l’outil statistique.
Toutefois assez souvent surgissait le paradoxe suivant
-  Il arrivait parfois qu’avec des données justes et une rigoureuse analyse de données on se retrouve avec des résultats discordants, peu fiables voire erronés.
Dans un premier temps, on peut bien sur incriminer la validité des données ou celle de leurs méthodes d’analyse.
Et on peut aussi en conséquence revoir ou rajouter des données et refaire l’analyse et le résultat peut rester encore aussi discordant.
Il sera alors plus difficile de remettre en cause une seconde fois la validité des données ou celle d’analystes chevronnés.
Alors pourquoi une telle discordance des résultats ?
Puisque la cause de l’erreur ne semble pas être ni dans les données ni dans leur analyse où est elle alors ?
Si elle n’est pas alors dans les données il faut peut être selon le Tao les rechercher dans les « Non » : les « Non Données » car non visibles, non dites, non formulées voire non conscientes
(Lao Tseu père du Tao qui a donné le Taoïsme parlait toujours de l’Agir mais surtout du Non-agir)
En un mot le background et parfois l’underground des Anglo-saxons.
Ce qu’on appelle le présupposé dans la culture française.
Le présupposé est en effet une donnée mais pas comme les autres car en réalité c’est une non-donnée donc
-  non visible et de ce fait même non soumise à vérification
-  non dite
-  non formulée
-  Voire non consciente
Mais sa grande capacité de nuisance vient de ce qu’elle
- interfère
- structure incidemment et durablement notre démarche
- et détermine les références de sens, de vision et d’analyse
Comme on le voit, le présupposé n’étant tant pas ce qu’on cache mais surtout ce qui est caché à nous.
(Voir annexe la notion de présupposé)
Bref on est prisonnier de nos présupposés sauf si on arrive à les « visibiliser ».
C’est ce qu’essaie de faire la psychanalyse dans son propre champ.
Les négociateurs et autres analystes et managers connaissent d’ailleurs l’importance parfois décisive de l’identification de ces présupposés tant dans les négociations que dans la gestion de tous les jours en particulier des groupes et équipes.
Mais justement comment les « visibiliser ».
Elle peut se faire selon trois voies
1ère voie : la voie royale
Certains mais très peu ont une telle perspicacité qu’ils arrivent à travers tous les voiles, écrans et filtres possibles à « voir » ces présupposés
2ème voie : la voie des « matheux »
Utiliser un outil puissant d’une branche des mathématiques : l’analyse probabiliste et son outil les statistiques.
Beaucoup de choses peuvent être mises en visibilité grâce à ce type d’analyse.
La 3ème voie : la temporelle voie « tranquille »
A défaut d’une perspicacité fulgurante ou de l’outil statistique laissez le temps faire tranquillement ce travail
Le seul gros problème de cette méthode c’est qu’elle demande du….temps.

C’est cette opération de « visibilisation » des présupposés qui les transforme de non-donnée (non visible) en simple donnée et leur enlève leur potentielle capacité de nuisance ou de brouillage d’une analyse.
Une fois « visibilsés » ils deviennent moins « faussants ».
Tant pour les analyses que pour les points de vue.
Ainsi la classique mais toujours puissante « analyse des données » ne suffit pas pour valider objectifs et résultats il faut aussi rajouter la complexe « analyse des présupposés. »
Car c’est cette double analyse qui garantit les résultats.
En particulier ceux des …guerres.
De toutes les guerres…
Pour clôturer ce point : Le compte d’un…conte.
« Un spécialiste fut appelé pour résoudre un problème sur un super ordinateur (qui coutait un million d’euros)
Assis en face du moniteur, il appuya sur quelques touches, hocha le tète, murmura quelques mots, ouvra l’unité centrale, prit un tournevis et revissa un minuscule vis.
Il referma l’unité et tout marcha parfaitement.
Le manager heureusement surpris par un résultat aussi rapide décida de le régler sur le champ.
Combien dit-il
Le spécialiste lui répondit 1000 euros.
1000 euros reprit étonné le manager ?
1000 euros pour quelques minutes et un tour de vis
Je ne réglerai qu’à la réception d’une facture détaillé rajouta-t-il !
Le spécialiste hocha la tète et partit.
Le lendemain le manager reçut la facture, la lut et paya sans broncher
Sur la facture on pouvait lire
-  Travail effectué
o Visser un vis = 1 euro
o Savoir quel vis visser = 999 euros »
Comme disent certains présentateurs y’a pas calcul !
Ce qui nous permet de paraphraser :
-  Donnée=1 euro
-  « Visibiliser » un présupposé = 999 euros.

A la lueur de ces remarques plus haut il nous a semblé pertinent de revoir nos outils
-  D’abord d’intégrer ceux qui manquent
-  Et surtout mieux les articuler
Commençons par les manques
Il manque un outil qui nous été précieux dans l’analyse, la compréhension des argumentaires et la recherche des solutions : « l’analyse des présupposés »
Ce nouvel outil va induire quasi directement la confection d’un nouvel autre outil fin des années 90 : la DIS Démarche intégrée avec ses trois volets
 l’explicitation des concepts opératoires
 des outils opératoires
 et celle de la démarche opératoire choisie
ce qui nous donne le tableau suivant

Tableau « revu » des outils articulés selon un ordre chronologique.

Année Outils Source référentielle
1974 Recadrage « Change : Principles of Problem Formation and Resolution »
Paul Watzlawick Ecole de Palo Atto
1979 Approche transdisciplinaire « GEB Gödel, Escher, Bach An Eternal Golden Braid »,
Douglas Hofstadter
1980 Approche holistic ou globale « The Aquarian Conspiracy » (« Les Enfants du Verseau »)
Marilyn Ferguson.
Début 90 Méthodologie Pralinn
Algorithme Ecole de Palo Alto
Ecole de Logique Formelle
Ecole de Chicago
Mi 90 Analyse des présupposés Ecole de Vienne.
Ecole de Franckfurt
Fin 90 La DIS Démarche Intégrée Simplifiée
Trois volets : expliciter les…
- Volet 1 : concepts
- Volet 2 : outils
- Volet3 :Démarche op . Les 5 Ecoles ci-dessus

Ainsi dans ce tableau nous avons mis en visibilité un présupposé : à savoir son articulation selon « un ordre présupposé » mais le plus simple : « l’ordre chronologique ».
Mais on peut aussi lui appliquer un autre « ordre » : « l’ordre logique » ce qui nous donnerait le tableau suivant :

Tableau des outils articulés selon un « ordre logique »

Outils Utilisés dans nos travaux
1. Approches 1.1 Approche transdisciplinaire
1.2 Approche Holistic
2. Méthodologies, démarches et processus 2.1 Méthodologie Pralinn
(Démarche algorithmique)
2.2 DIS Démarche Intégrée Simplifiée
2.3 Méthodes d’analyse
- Des données
- Des présupposés
3.Outils “techniques”
process et procédures 3.1 Recadrage
3.2 Algorithme

Enfin on peut aussi articuler ces outils selon le complexe « ordre présupposé »
Nous nous contenterons pour ces présentes conférences de l’ordre chrono et logique.
Bien sur il faut quasiment – surtout pour un chercheur ou formateur – traquer tous les présupposés à quelque niveau que cela soit.
En un mot le souci de rechercher d’identifier et de mettre en visibilité le maximum de présupposés possible est une condition majeure de la forte validité d’une analyse.
Et une fois que tout cela est clair alors on peut regarder les choses dans le détail
« Il faut d’abord de la clairvoyance et ensuite regarder » disait Mawlana Jalal Eddine Er Roumi.
Armé d’un peu plus de « clairvoyance » on va donc expérimenter tout cela sur le cycle de nos conférences.
Et dans cette présente conférence nous allons nous poser la question posée par l’Administration Américaine
1. La banque a-t-elle encore un rôle à jouer dans la Globalisation (et ses crises financières)
2. Si oui quel serait ce nouveau Rôle ?

Résumé des conférences précédentes

Résumé de la 2ème conférence

Intitulé : Rôle et Tâches des Elites
Date : Mercredi 1er décembre à 16h30 Lieu : Palais de la Culture (le 2ème mercredi est férié : Aoual Moharem)
Sommaire
Résumé

0. Background
0.1 Méthodologie
0.2 Questionnement
- Y-a-t-il encore des Elites ?
- Si oui ont-elles encore un rôle à jouer ? (cadre=Globalisation)
- Si encore oui quel serait ce rôle et les tâches qui en découlent ?
1. Y-a-t-il encore des Elites ?
1.1 Le modèle « anglais » : forces nouvelles et forces traditionnelles
1.2 Elites : concepts et typologie.
2. Si oui : dans la globalisation ont-elles encore un rôle à jouer ?
2.1 Rôle et tâches classiques
2.2 Ce rôle et tâches sont-il toujours pertinents en 2011 ?
3. Nouveau Rôle et nouvelles Tâches des Elites ?
3.1 Le rajout de Frantz Fanon : la Mission
3.2 Nouveaux Rôles et Nouvelles Tâches (UNDP)
En conclusion : VMM Vision Mission Moment

Les annexes
Annexe 1 : Concepts
- Groupes
- Réseaux
- Forces
- Elites
Annexe 2 : Outils
-  Recadrage Palo Alto Université Stanford San Francisco
-  Approche Multi – Transdisciplinaire
-  Méthodologie Pralinn et algorithme
-  La DIS Démarche Intégrée Simplifiée et ses 3 volets.
Annexe 3 : Pensée complexe : l’outil du futur
Annexe 4 : Facteurs de développement
Annexe 5 : Les cols blancs.
NB : les annexes 2, 3, 4 et 5 sont celles de la 1ère conférence et vont jouer le rôle d’annexes « trans-conférences » ce qui nous évitera leur répétition. Ainsi lors de chaque conférence, il suffira de se reporter aux annexes de la 1ère.

Annexe 6 Base de données
-  Bases de données papiers
-  @-bases de données
Annexe 7 : premiers avis

Résumé :
Dans la 1ére conférence on s’était posé la question de savoir si
- Un pays dit émergeant peut se lancer dans un lourd processus de développement ?
Bien sur on a deux réponses : celle des pessimistes et celle des optimistes.
Le problème c’est que les deux ont…raison.
« Le contraire d’une vérité n’est pas une erreur mais une vérité contraire » le mathématicien Pascal.
Pour sortir de cette impasse pleine de…vérités contraires, on a fait appel à la solution « indécidable » du autre grand mathématicien Kurt Gödel.
On a fini par avoir une réponse décidable : on peut se développer mais dans le cadre d’un grand ensemble sous entendant un grand marché.
Restait un « petit » grand problème : qui va construire ce grand marché ?
Pour cela nous sommes allés chercher la réponse chez l’historien qui a le mieux étudié le processus de développement de l’Europe : l’anglais Eric Hobsbawm.
Et pour lui le déterminant moteur a été l’industrialisation dont l’Angleterre a été le berceau mais qu’il fallait aussi deux autres déterminants tout aussi majeurs bien qu’à des niveaux logiques différents.
- Des forces nouvelles pour soutenir ce lourd processus.
- Et un poids des forces traditionnelles pas trop puissant auquel cas le processus risque d’être ralenti voire plus grave arrêté (cas du Mexique)
Partant de ce modèle « anglais » qui ne s’est pas ridé mais bridé – Corée du Sud – on s’est ensuite recadré sur le
- Rôle et les tâches des Elites en interaction directe avec ce modèle.
Et c’est ce recadrage sur les Elites que nous allons aborder dans ce présent travail.
Avec d’un coté
- leur rôle et tâches classiques : mener la révolution industrielle et créer un grand marché
- et leur nouveau rôle et nouvelles tâches : vu par Frantz Fanon et le programme des Nations Unies UNDP
0. Background
(Voir plus haut)

Résumé de la 1ère conférence
Intitulé : Processus de développement
Peut-on encore se développer en 2011 ?
Les « pessimistes » et les « optimistes »
(Faite en 2006 sous l’intitulé : le processus de développement d’un pays émergent : déterminants et présupposés Les bons « copieurs » seront-ils les bons élèves ? )
Date : Mercredi 10 novembre à 16h Lieu : Palais de la Culture

Sommaire

Résumé
00. Background
0. En guise d’introduction
1. Les « pessimistes » : non, il est trop tard
Un pays émergeant ne peut plus se développer en 2010
Les 5 grandes raisons du ….non-développement !
2 Le marché mondial d’abord
3 Des raisons énergétiques
4 Des raisons financières
5 Des raisons écologiques
6 Voire même des raisons géostratégiques.
2. Les « optimistes » : oui, il est encore possible de se développer.
2.1 Les expériences antérieures : Europe
2. 2 Les expériences plus récentes : Corée du Sud.
3. Qui a raison : les pessimistes ou les optimistes ?
3.1 Pour cela mettons en visibilité les présupposés des pessimistes
3.2 Le présupposé des optimistes : le modèle
3.3 La solution « indécidable » du grand mathématicien Kurt Gödel
En conclusion
Conclusion 1 : va-t-on vers une « Société Nouvelle » ?
Conclusion 2 faut-il revoir nos outils et leur articulation ?
Les annexes
Annexe 1 : Concepts
- Déterminant
- Présupposé
- Modèle
Annexe 2 : Outils
-  Le cadre-recadrage Palo Alto Université Stanford San Francisco
-  Approche Multi – Transdisciplinaire
-  Méthodologie Pralinn et algorithme
-  La DIS Démarche Intégrée Simplifiée
Annexe 3 : Pensée complexe : l’outil du futur
Annexe 4 : Facteurs de développement
Annexe 5 : Les cols blancs.
Annexe 6 Base de données
-  Bases de données papiers
-  @-bases de données
Annexe 7 : premiers avis
Résumé :
Dans cette 1ére conférence on s’était posé la question de savoir si
- Un pays dit émergeant peut se lancer dans un lourd processus de développement ?
Bien sur on a deux réponses : celle des pessimistes et celle des optimistes.
Le problème c’est que les deux ont…raison.
Les premiers invoquent cinq types de raisons : le marché mondial, les pénuries d’énergie, la mobilisation de gros capitaux, des raisons écologiques sans perdre de vue des raisons géostratégiques.
Les seconds invoquent leur ….volonté
De vouloir se développer.
En réalité les optimistes s’appuient surtout sur les expériences antérieures (Europe) et les plus récentes (Asie).
Et tentent de les … « copier »
Du moins de les adapter c’est-à-dire les « copier » intelligemment.
On peut remplacer « copier » par des termes plus savants comme identifier, extrapoler, intégrer et adapter aux conditions locales.

Pour sortir de cette impasse pleine de…vérités contraires, et entre l’argumentation implacable des « pessimistes » et la « copie » des « optimistes », on a fait appel à la solution « indécidable » du grand mathématicien Kurt Gödel
Mais aussi à la « clairvoyance » de Jalal Eddine Roumi
Quant au subtil et perspicace historien anglais Eric J Hobsbawm nous avons repris son « modèle européen » de développement
On a fini par avoir une réponse décidable : on peut se développer mais dans le cadre d’un grand ensemble sous entendant un grand « marché régional » qui rend rentable une telle industrialisation.
Maintenant comme disent les banquiers il faut valider tout ça !
.
Restait un « petit » grand problème : qui va construire ce grand marché ?
Pour cela nous sommes allés chercher la réponse chez l’historien qui a le mieux étudié le processus de développement de l’Europe : l’anglais Eric Hobsbawm.
Et pour lui le déterminant moteur a été l’industrialisation dont l’Angleterre a été le berceau mais qu’il fallait aussi deux autres déterminants tout aussi majeurs bien qu’à des niveaux logiques différents.
- Des forces nouvelles pour soutenir ce lourd processus.
- Et un poids des forces traditionnelles pas trop puissant auquel cas le processus risque d’être ralenti voire plus grave arrêté (cas du Mexique)
Ce modèle « anglais » ne s’est apparemment pas ridé mais seulement bridé – Corée du Sud et surtout Chine.

0. Background
(Voir plus haut)

Merci de votre lecture.